LA CFTC
Fondements et identité
« La confédération se réclame et s’inspire des principes de la morale sociale chrétienne » (article 1er des statuts)
La conscience d’une fraternité universelle entre les hommes, de notre responsabilité vis-à-vis de l’avenir que nos droits ont pour pendant les devoirs que nous avons envers les autres, que notre épanouissement personnel dépend de la capacité de chacun à favoriser l’épanouissement des autres
Une exigence de justice pour tous et en particulier pour les plus fragiles
Le choix de la solidarité.
Une priorité : les plus faibles et les plus démunis
3 principes d’action :
- le respect de la dignité de chaque personne,
Cette dignité relève du sacré : pas de l’âge, de l’intelligence, de la fortune, du physique ou de la sensibilité…
- le service du bien commun :
favoriser l’épanouissement de chaque homme et de chaque groupe
reconnaître les droits de tous aux biens du monde,
opter pour le développement durable…
- la subsidiarité : donner leur pleine liberté d’action aux personnes et aux communautés de base ou corps intermédiaires (famille, entreprise, associations, collectivités territoriales…) sans mettre en cause la solidarité.
- Elle est l’héritage de notre histoire.
- Elle incite au développement de la solidarité et à l'épanouissement des personnes
- Elle n’impose pas de pratiques ou de convictions religieuses.
- Elle éclaire la mise en œuvre de valeurs fondamentales pour pour un monde plus juste et plus humain: la solidarité, la liberté, la responsabilité, la justice sociale, la participation démocratique, la durabilité ou exigence d’un développement durable
- Elle favorise des comportements positifs : se dévouer, être constructif, être soucieux de vérité, oser faire confiance, être ouvert et rassembleur, prendre ses décisions en toute indépendance vis à vis de tout groupe extérieur …
Élargissement du dispositif de formation par la mise en place de Compte personnel de formation (CPF)
La portabilité du DIF et des complémentaires santé et prévoyance permet à un salarié de conserver ses avantages même après une rupture de son contrat de travail (loi issue du « Statut du travailleur »)
Début de la négociation sur les 35 heures hebdomadaires (généralisation en 2000)
1971
Loi sur la formation professionnelle continue (FPC)
1968
Augmentation de 25% du Smig (qui devient le Smic en 1970), création de la section syndicale d’entreprise
1967
Création de l’Agence Nationale pour l'Emploi (ANPE)
Participation au l'élaboration du Programme du Conseil National de la Résistance
1932
Loi généralisant les allocations familiales à l’ensemble des salariés
Depuis plus de 95 ans, la CFTC défend les intérêts de tous les salariés, et particulièrement de ses adhérents, 135 000 fin 2013. Elle les assiste juridiquement et psychologiquement dans leur quotidien (conditions de travail, négociations salariales…), à travers ses syndicats présents sur tout le territoire et dans toutes les professions, près de 1 200 aujourd’hui. La CFTC défend ardemment le pluralisme syndical, la laïcité et la neutralité politique dans toutes les négociations.